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Sexe oral et chlamydia, les risques

Comment attraper la chlamydia ? Quels sont les risques d’une fellation, d’un cunnilingus ? Chaque année de nombreuses contaminations ont lieu malgré le port d’un préservatif lors des rapports vaginaux ou anaux. Le risque de transmission de la chlamydia lors de la pratique d’actes sexuels oraux existe bel et bien. En prenant quelques précautions, il est possible de se protéger afin d’éviter la chlamydia et les autres IST.

En cas de rapports non protégés, le test de dépistage permet de diagnostiquer rapidement la présence d’une infection à la chlamydia. Des tests et des traitements sans ordonnance sont disponibles en ligne pour conserver l’anonymat et la discrétion. Nous vous parlons plus en détail ci-après.

Fellation et chlamydia les risques

Peut-on attraper la chlamydia lors d’une fellation non protégée ? La réponse est oui et ceux même en l’absence d’éjaculation !

La fellation sans protection est d’ailleurs une des causes les plus fréquentes de transmission de la chlamydia du sexe vers la bouche et inversement. En cas de gorge profonde, l’infection de la gorge est également très fréquente et la chlamydia peut alors se développer au niveau des poumons (chlamydia pneumoniae).

C’est pourquoi de nombreux cas de transmission sont recensés malgré des rapports anaux et vaginaux sous protection. La fellation même sans éjaculation peut conduire à l’infection par la chlamydia. L’usage du préservatif est donc fortement recommandé pour se protéger lorsqu’on suce un homme.

En cas de rapports partiellement ou totalement non protégés, il est essentiel de se prémunir en réalisant un test de dépistage le plus rapidement possible.

La chlamydia provoque peu voire même pas du tout de symptômes que ce soit chez les hommes ou chez les femmes. Seul des dépistages réguliers peuvent permettre d’identifier la présence de la bactérie.

Dès lors que l’infection sexuellement transmissible est identifiée, un traitement par antibiotique sera proposé. Ce traitement est très efficace et permet de reprendre rapidement une activité sexuelle normale.

Fellation : les risques d’IST

Que l’on soit receveur d’une fellation ou que l’on soit la personne qui pratique la fellation, le risque de transmission d’une IST n’est pas négligeable. Contrairement au cunnilingus, la fellation expose à des risques plus importants.

Pour la personne qui se fait sucer, les transmissions les plus courantes sont la chlamydia, la gonorrhée, le papillomavirus (verrue génitale), l’herpès et la syphilis. Cas plus rare mais qui peut avoir lieu lorsqu’on se fait tailler une pipe la transmission de l’hépatite B.

Toutefois, recevoir une fellation ne présente pas de risque vis-vis de la transmission du VIH.

Néanmoins, comme nous l’avons vu, les risques de contracter une infection sexuellement transmissible se sont pas à négliger pour le sucer. En revanche, la suceuse (ou le suceur) devra faire preuve d’une vigilance accrue, les mêmes risques de transmission sont présents auxquels s’ajoutent le risque du VIH SIDA, surtout en cas de saignement au niveau des gencives et muqueuses buccales.

En cas d’éjaculation faciale, les risques de transmission de la chlamydia sont très faibles. La transmission peau à peau étant extrêmement rare. En revanche, l’éjaculation buccale, l’échange de sperme entre deux personnes (Snowballing, Cumswapping) expose fortement aux risques de contracter une IST.

Les IST peuvent causer des troubles à vie (Syphilis, Herpès). Le meilleur moyen de protection est de porter un préservatif sur la verge. Avant d’ôter la protection lors d’une relation durable et fidèle, il est préférable de réaliser tous les tests IST ensemble afin d’éliminer tous risques futurs.

Chlamydia et cunnilingus risqué ?

Peut-on attraper la chlamydia lors d’un cunnilingus ? Autant dans le cas d’une fellation, le risque de transmission est manifeste en revanche dans le sexe oral vaginal la transmission est plus rare mais pas inexistante !

Qu’il s’agisse de lécher le sexe de sa partenaire ou de se faire lécher par un homme ou une femme, la transmission est peu fréquente.

Mais étant donné que le risque existe, nous vous recommandons la plus grande vigilance. En cas de doute, il est fortement recommandé d’effectuer sans tarder un test de dépistage de la chlamydia ou d’autres infections sexuellement transmissibles.

Si vous avez été exposé à la chlamydia, un traitement par antibiotique vous permettra de vous soigner rapidement.

Cunnilingus, les risques d’IST

Outre la chlamydia, d’autres risques son présent lorsqu’on se fait lécher le clitoris et le vagin. Pour la personne qui reçoit le cunnilingus, elle s’expose notamment à l’herpès, au papillomavirus humain ou encore à la Syphilis. Dans des cas plus rares, l’hépatite B, la chlamydia ou encore la gonorrhée peuvent être transmis lors d’un rapport bucco-génitale bouche-vagin.

En revanche, la transmission du VIH SIDA lorsque l’on reçoit un cunnilingus n’est pas possible.

Mais quant est-il pour la personne qui prodigue le cunni en léchant délicatement le sexe de sa partenaire. Lors de l’acte, il ou elle s’expose aux risques de transmission de l’herpès, du papillomavirus humain (verrues génitales) ou encore de la syphilis. Dans des cas moins courant, le risque d’être contaminé par la chlamydia, la gonorrhée ou l’hépatite B est possible.

Concernant le VIH, le risque est également présent dans certaines conditions. Voici quelques informations pour réduire les risques de transmission du VIH. A noter par ailleurs, qu’il est vivement recommandé de traiter rapidement les IST car la présence d’une IST augmente les risques d’être contaminé par le VIH. Des tests réguliers et la prise d’un traitement le plus tôt possible est donc essentiel. Commandez en ligne de l’Azythromycine sans ordonnance et recevez-le en 24 heures, en toute discrétion.

Quel moyen de protection ?

Pour réduire les risques de transmission des IST lors d’un cunnilingus, que ce soit pour la personne léchée ou pour la personne pratiquant le broute minou vous pouvez couvrir le vagin avec une digue dentaire ou un préservatif découpé afin de former une barrière.

Anulingus et chlamydia

Peut-on attraper la chlamydia en léchant l’anus de son/sa partenaire (anulingus) ?

La chlamydia se transmet plus rarement lors d’un anulingus. Les risques de transmission sont toutefois existants et des précautions sont à prendre lors de relations sexuelles avec de nouveaux partenaires, quel qu’en soit le nombre.

En cas d’exposition à un ou une partenaire infectée par la chlamydia, il convient de faire le plus rapidement possible un test de dépistage et ce afin d’entamer rapidement un traitement efficace contre la chlamydia.

Dans la plus grande majorité des cas, un traitement à l’Azithromycine permet d’éliminer la bactérie en 7 jours. Un traitement subsidiaire à l’Erythromycine peut également être pris en cas d’impossibilité de consommer de l’Azithromycine ou la Doxycycline.

Anulingus, quels sont les risques d’IST

Que ce soit chez les homosexuels, lesbiennes ou hétérosexuelles, la pratique de l’anulingus est de plus en fréquente. La stimulation anale provoque des sensations puissantes car il s’agit d’une zone érogène fortement nervurée.

Il est donc essentiel de rappeler que cette pratique comme les autres pratiques de sexe oral (fellation, cunnilingus) n’est pas sans risques pour la santé.

Même si le fait de lécher l’anus ne permet pas la transmission du VIH, d’autres IST se transmettent par cette voie. C’est le cas notamment des hépatites A et B, de l’herpès, des verrues génitales (HPV) ou encore de la syphilis. Dans de moindres cas, la chlamydia et la gonorrhée font également partie des infections qui se transmettent que l’ont soit receveur ou donneur d’un anulingus.

Quels moyens de protection ?

Afin de réduire les risques de transmission d’un IST lors d’un anulingus, il est vivement conseillé d’utiliser une digue dentaire ou un préservatif découpé afin de couvrir l’anus et de former une barrière.

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Sexe oral et risque d’attraper la chlamydia

  • Fellation : risque de transmission important pour les deux partenaires (préservatif obligatoire)
  • Cunnilingus : risque de transmission faible  (digue dentaire recommandée)
  • Anulingus : risque de transmission faible pour les deux partenaires (digue dentaire recommandée)

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